Interview Christophe « Little Vic » Vico

Christophe et Claude Vuillemot en 2012

Christophe « Little Vic » Vico, ancien superclasse toujours à la baston derrière nos 2 stars qu’étaient Xavier Redois et Claude Vuillemot, se permettant même de les « taxer » de temps en temps, est une figure du BMX français. Un parcours BMX atypique, puisqu’une fois son spad remis au garage, sa gouaille et son charisme naturel ont fait de lui le speaker officiel du Team Haro Blix et ensuite de grands événements freestyle comme le Megafree et les Bicross Internationaux de Paris-Bercy. Autant dire qu’il a côtoyé les plus grands et on ne pouvait pas rater le témoignage de ce sympathique bonhomme, qui comme son nom l’indique a toujours la patate et que j’ai eu l’honneur et le plaisir de rencontrer à Paris en février dernier.

Allez hop, l’interview c’est dans la suite….

OSBMXF : Salut Christophe, merci de m’accorder cette interview. Que deviens-tu ? Où habites-tu ?

CV : Je suis marié avec Isabelle une tornade blonde de catégorie 7 qui tient une boutique de vêtements à Apt. J’ai 3 enfants, une fille de 14 ans, un garçon de 11 ans et la dernière qui a 6 ans. Je les aime par dessus tout. Quand à moi je suis artisan Taxi depuis 15 ans plus orienté vers le transport médical. J’habite dans la région du Luberon prés d’Apt au beau milieu des chênes et des vignes. Le Luberon c’est le top pour rider en VTT. Bref une vie à la Californienne avec l’océan en moins.

 OSBMXF : Peux-tu nous dire quand et dans quelles circonstances tu as commencé le bicross ?

1982 Le début

CV : Dans les années 80, Internet et Facebook n’existaient pas, il n’y avait que le Club Dorothée à la télé ! Alors ce n’était pas difficile de trouver un autre centre d’intérêt. Mes grands parents étant les voisins de la famille Cassan, après l’école on allait faire les cons avec nos MX 10 et CPX 100 (pour les plus chanceux) sur les bosses derrière la piscine municipale où habitait Frédéric (Cassan).

Il y avait aussi mon cousin Eric Gassin, Manuel Prospero, mon frangin Thierry, mon oncle Sylvain, Lionel Guillen.

Le club de Bicross fut créé en 1982 par George Gassin  et il organisa sa première course. Je me suis inscrit pour rigoler et ma mère (bonne comme le pain) m’a acheté le jour même un BMX tout chromé made in Hongkong mais en plomb ! Et j’ai fini bon dernier.

Mon oncle Sylvain qui roulait dans ma catégorie ainsi que mon p’tit frère étaient meilleurs que moi. Mais au contraire d’eux j’ai persisté et j’ai gagné la dernière manche du Championnat de France à Gruissan sur un intérieur de premier virage d’un autre monde où j’ai grillé Leuleu, Berthiaud et Gallardo, les meilleurs de l’époque quoi ! Ça a été le déclencheur à explosifs et j’ai commencé à gagner d’autres courses.

Je lisais les BMX Action de Lionel Guillen, actuel prof de natation à Apt, et je rêvais de rouler avec les pros ricains. On avait un entraineur à Apt qui nous filait des teeshirts et parfois du matos, le fameux Vladi du magasin de moto Superbowl à Cavaillon, du coup on progressait assez vite.

C’est ainsi que plus tard le club d’Apt aura 3 champions de France : Eric Gassin, Fredéric Schneider et Fred Cassan, qui sera également champion d’Europe. Dans la même catégorie, Olivier Clérici et Manu Prospero roulaient très fort également.

Le club d'Apt en 1982 à Gruissan avec de gauche à droite : Eric Gassin, Lionel Guillen, Manu Prospéro, Thierry Vico, H. Decarnin, H.Pécoul, ?, ?, Fred Cassan, Sylvain Levet et Chris Vico .

 

Quant à moi en 1983, je termine la saison vice-champion de France et 3ème au Championnat d’Europe (1er Français) sur un Vitus aux couleurs Superbowl. L’Angleterre et Dijon furent mes premiers grands souvenirs de BMX, on pouvait y voir un  pro Américain en vrai : Andy Patterson !

Mais ce qui me bottait le plus là, c’était de découvrir d’autres rivages, d’autres mecs différents qui devenaient des potes au fil des weekends de races. Il y a tellement de noms qui me viennent en tête : Gallardo, Leleu, Berthiaud, Martinez, Dieule, Roman, Lali… Mais une pensée toute particulière pour Valérie Huber notre « Anne-Caroline Chausson » de l’époque, la bonne humeur incarnée.

1984

OSBMXF : Comment sont arrivés tes premiers sponsors. Pour quelles marques as-tu roulé ? 

CV : Mon premier sponsor ? Mes parents bien sûr, sans eux je serais resté comme les copains : En « Petit Bateau » au bord de la piscine municipale à draguer la damoiselle frétillante lorsque l’appel de la puberté résonne au fond des bois. Ha ha ! Non plus sérieusement mon père était alors le président du Club d’Apt et il me trimbalait sur des milliers de kilomètres dans sa CX blanche tous les weekends (un guerrier le father).

Puis Bernard Cugerone, le coach de Chris Berthiaud nous a filé des tenues et cadres Kuwahara.

Mais participer à des compétitions ça coûte cher et en fin d’année 1984, René Nicolas de L’AFB me propose d’intégrer la toute fraiche catégorie Superclasse. Fred Roman du magasin BMX Star à Arles me propose alors un contrat sous les couleurs d’une nouvelle marque Belge : Pro Winner, des vélos aux couleurs sympas qui se dénotent des marques du moment. Armand Bonis sera également de la partie, ce mec super cool et fan du groupe Depeche Mode s’offrira le titre de champion d’Europe Cruiser en 16 ans expert cette année-là. La grande classe !

En 1985, je roule donc aux cotés de Xavier Redois, Claude Vuillemot, J.F Lali, Luc Khoeler, Danny Giquel, Galardo, Baud, Loche, Edouard Cordier, etc… Je m’éclate à me mesurer aux meilleurs pilotes Européens. Même si je ne gagne pas de course j’arrive toujours dans le paquet de tête et avec Pro Winner à me faire un nom dans le circuit.

A la baston avec X-Or

 

Avec Claude Vuillemot

 

Les yeux dans les yeux avec Xavier Redois
Séance photo avec JP Montiel pour le mag Newlook et cartes postales Bmx
Pub Michelin Cobra
Christophe fait même un disque !
Pub Pro Winner avec Armand Bonis

En fin d’année 1985, je n’ai pas assez de sous pour rouler convenablement car Pro Winner reste un petit team  (je n’ai pas pu faire le Championnat du Monde au Canada… Grrrr !).

Me voilà donc à l’Indoor d’Orléans avec jeans et sweat blanc, et un grand point d’interrogation dessiné dessus, à l’Américaine quoi. Sylvain Billon de MBK, et Richard Simon (le papa de Laurence) de GT vélo 2000 me proposent alors tous deux un contrat dans leurs Teams. J’avoue je me la suis pété ce jour-là !

Parce qu’il y a Xavier Redois et puis parce que c’est une marque qui me fait rêver, je roulerai en jaune à Paris-Bercy où je ferai la finale avec Luc Khoehler et six autres pros Américains. Et voila, rêve accompli, j’étais dans la cour des grands !

Une année à rouler sur GT, et le bronze au Championnat de France Superclasse derrière Xavier et Claude.

1986 Christophe fait la couv

Bercy 1987

Je fais la couverture de Bicross Mag, j’entraine les gamins d’Apt et d’autres clubs et je commence à avoir une meilleure technique. Je roule régulièrement sur la piste de Cavaillon avec des mecs très stylés comme Pierre-Henri Sauze, Kiki Bioules, Fred Hetmanzick, Franck Roman, Philippe Bey etc…

OSBMXF : En tant que Superclasse, suivais-tu des entrainements intensifs, des régimes alimentaires ? D’autres trucs spéciaux pour être au top ?

CV : Je ne me suis jamais pris au sérieux, pour moi c’était un jeu et je n’ai jamais vraiment suivi un entrainement d’athlète comme dans le BMX actuel.

Toutefois à partir de 1985 avec Fred « Rambo » Cassan, c’était muscu, footing, gym et entrainement sur la piste d’Apt 1 à 2 fois par semaine. Michel Lalande le médecin de L’AFB m’avait préparé un programme personnalisé. Mon seul et véritable atout c’était d’être en tête dès les premiers coups de pédales. Fred Cassan possédait une grille de départ portable pour 2 pilotes que l’on a bien usé !

 OSBMXF : Raconte-nous pourquoi tu as arrêté la race et comment tu t’es retrouvé speaker dans le freestyle ?

CV : Je dis toujours cette phrase qui m’amuse : GT un PRO WINNER mais SUNN’ était qu’un rêve… (Ô poésie quand tu nous prends !)

Fin 1986, je suis le 3ème meilleur Français (sur le papier en tous cas) et Max Commencal m’appelle pour me proposer d’être l’unique pilote Superclasse chez Sunn l’année suivante. Alléchante proposition à laquelle je succombe sans trop réfléchir. Je ne renouvelle pas mon contrat chez Vélo 2000 et quelques jours après Commencal change d’avis (rhaaaa !). Bormans, le boss de GT, entre temps avait filé à Gary Turner la liste officielle des pilotes GT Europe, je n’y figurais plus. Bref comme une grosse buse je perdais le beurre et la crémière. (ce n’est pas ça qu’on dit ?)

Du coup, Fred Roman me passe à nouveau un Pro Winner et une tenue bleue pour la saison 1987 mais je ferais que le Championnat de France, budget oblige.

Je me fais alors régulièrement « latter » par les Minozzi, Kastler, Vuillemot, Redois, Berthiaud et autre « Chevrotine ». Bref, je commence a être dégouté de la race ; j’ai 19 ans et je ne suis plus le héros du film. La FFC commence à casser les cou… et depuis 6 ans je n’ai fait que rouler.

Je décide alors d’arrêter la compétition en 1988  mais je ne quitte pas le milieu du BMX.

Patrick Roman (RIP) et Jean Somsois avec Chris au micro

J’avais déjà animé des races au micro, alors Philippe Roman (le frère de l’autre) me propose d’être le speaker officiel du Blix que je connaissais déjà bien. Et me voila partie pour 3 ans « on the road again », avec une bande de fous furieux de la rampe et du sol qui n’ont même pas peur d’un chirurgien dentiste !

Jean Somsois , Patrice Ginoyer, David Chabert et Patrick Roman seront les « 4 Fantastiques » avec qui je ferai le plus de trucs. Christophe Chevalier, Patrice Karoubi et J.P Villanova seront parfois de la partie. Ce fut THE GOOD TIME, et j’ai vraiment apprécié toutes ces incroyables tournées malgré des galères de ouf à cause du matériel parfois capricieux !

 OSBMXF : On a tous également remarqué tes chouettes dessins sur le monde du BMX. Comment t’es venu cette passion ? Il parait que c’est toi qui a dessiné le logo du Blix ?

CV : Le Blix (Bicross Libre Expression) c’est une idée du Coach Philipe Roman. Tout comme pour les tenues de L’EXPLORATEUR  il m’a embarqué dans ses délires comme designer du Team.

Un jour j’ai pris un marqueur noir, j’ai écris Blix sur un papier blanc, Philipe m’a regardé, je l’ai regardé, on s’est regardé et il m’a dit « C’est lui, c’est le saint graal ! » Bref, le logo était né tout connement !

Je dessinais un personnage que les mecs aimaient bien : Overall, un Robot de l’espace mascotte du Blix. J’ai pris sa tête en forme de truck et je l’ai rajouté sur le Logo. Voilà pourquoi on a toujours associé le Blix au skate, mais en fait ça n’a rien à voir. Pour L’anecdote, j’ai créé plus tard le logo d’une des toutes premières marques de VTT en France, fabriquée par Fred Roman, et qui s’appelait comme par hasard : Overall…

Dessin de Christophe, décidément il sait tout faire...

En 1988 on est monté à Paris avec Philippe chez Gérard Hénon pour dessiner les tenues de la tournée avec au programme restau gastro et grand tralala Parisien à la Hénon. Mais 3 jours plus tard, dans un bureau spécialement aménagé, y’avait rien qui sortait. Finalement on a pris le nom « l’Explorateur » et on l’a superposé. Ca a donné « l’Explo » et en dessous « rateur ». Gérard Henon n’aimait pas le « rateur » et pourtant on finira par conclure et faire une des plus célèbres tournée Française avec un équipement digne des grands shows à l’Américaine !

Mouais… mais avec des tenues de majorettes je vous l’accorde. Mdr !!!

 OSBMXF : Quels sont tes meilleurs souvenirs ? En tant que pilote superclasse ? En tant que speaker freestyle ? Les Bercy, Megafree et autres, ça devait être énorme !

CV : Mes meilleurs souvenirs : La  demi-finale à Bercy avec les pros ricains lorsque je fais l’intérieur à Eddy King et Toby Henderson pour finir 2ème derrière Clark.

Christophe devant Eddy King (masqué) et Toby Henderson ! Respect...

En 1985 une manche du Championnat d’Europe Superclasse en Angleterre où j’ai roulé fort et j’ai été le seul Français en finale 20 ».

Le  1er Championnat de France Superclasse en 1985 avec Xavier Redois et sa célèbre tenue Gitane et le Claude, un mec vraiment super sympa et à mon avis le meilleur d’entre nous .

Ouaih, mais l’ultime classe Américaine c’était quand même : THE SUPERTOUR  ! Le fun de la plage associé à la force de la race plus la magie du free assaisonné d’une giclée rafraichissante de waterjump. Ricains et Mad Dogs le soir au coin du port comme berceuse. Quelle chance on avait d’être là !

En tant que speaker, la première fois que je suis rentré dans le Popb de Bercy avec le micro qui tremble et 15 mille personnes qui hurlent : ça peut faire flipper légèrement un mec de 20 piges !

Le Mégafree c’était géant ; j’étais planté au milieu des meilleurs freestylers au monde et payé pour ça en plus. Et puis y avait la télé en direct… C’était vraiment « The big show » et coup de pot, j’y étais encore !

 OSBMXF : As-tu des anecdotes à nous raconter ?

CV : Des centaines,  mais on n’a pas le temps là ? Allez une petite avec le Blix : retour de démo sur l’autoroute au niveau d’Orange, depuis 30 mn tout le monde nous fait des appels de phares mais on ne capte rien. Patrick Roman jette alors un coup d’œil par la portière du Mercos aux couleurs Gérard Hénon et me dit calmement « on fait des étincelles avec la rampe c’est pas normal. » Aaaaaaargggghh !!!! Arrêt d’urgence avec obligation d’abandonner le banks sur l’A7 car la roue avait disparu et nous roulions depuis des kilomètres sur l’essieu ! On a tout niqué… Le Blix est l’inventeur de la première rampe des neiges… mdr !

1989 Tournée FREE SENSATION avec le BLIX

OSBMXF : As-tu rencontré ta femme grâce au BMX ? Elle était fan ? (La question « people » habituelle, mais c’est marrant)

CV : Que nenni ! Je l’ai rencontré en 1989 dans un bar (hips !), elle venait de faire 15 km sur un vélo. J’étais épaté de rencontrer enfin une nana sportive. En fait c’était la toute première fois qu’elle faisait du vélo de sa vie… Une escroquerie !!!! Ha ha…

Mais j’ai été séduit et quelques temps plus tard on s’est retrouvé dans une discothèque. Isa est venue me voir sur quelques tournées et a rencontré Jean Somsois, Philippe Roman ainsi que les autres membres du Blix. Mais ce n’était pas son truc, elle n’était pas fan du tout de BMX et de toute façon moi aussi je commençais à en avoir marre.

Alors une nouvelle fois j’ai bifurqué sur un boulot que l’on m’a proposé suite aux démos dans les stations de skis : G.O de club vacances. J’avais besoin de fric pour vivre ayant délaissé les études pour le BMX et c’était un boulot plutôt fun. J’ai fais ça pendant 5 ans et notre vie de couple à réellement commencé à ce moment-là.

 OSBMXF : Tes enfants font-ils du BMX ? Ta femme et eux se rendent-ils compte que tu as été dans les stars du bicross à l’instar de Claude Vuillemot ou Xavier Redois, souvent dans les bonnes pages et en couv de Bicross Magazine, et le statut de référence que tu as aujourd’hui dans le monde du bmx old school ?

CV : Non, le BMX n’est pas une maladie génétique hélas… Ma famille connait mon passé de sportif mais s’en tamponne le coquillard de mon palmarès ! Ca sert juste à épater un copain d’école fan de BMX de temps en temps (lol).

OSBMXF : Quel est ton point de vue sur le BMX de haut niveau actuel et sur le BMX freestyle également puisque tu possèdes les 2 cultures ? Suis-tu toujours l’activité du BMX en général ? Ton avis sur le BMX Olympique, t’aurais aimé en être non ?

CV : Je regarde l’actualité du BMX grâce au Net mais je suis beaucoup moins inspiré que jadis.

Le Bmx de race me semble moins accessible que dans le passé. Ceci dit les pilotes sont vraiment impressionnants et je n’imagine même pas l’entrainement de « ouf » pour tenir le niveau toute l’année.

Le Free, c’est différent : dire que je pensais que le Blix était parfois trop underground…

Aujourd’hui le moindre gamin de 10 ans s’habille comme un clodo et fracasse les bancs du jardin public de son quartier à grand coup de grinds. Mais il sait aussi envoyer des backflips à tire-larigot. C’est de l’art, le free est devenu porte parole du BMX en général.

 OSBMXF : Est-ce que tu roules toujours ? As-tu un BMX ?

CV : J’ai roulé un peu en 2000 mais l’ambiance avait disparu. J’ai plutôt fait du VTT avec les frères Taillefer ainsi que quelques compétitions de descentes. En fait, je n’ai jamais cessé de pédaler à part depuis un an. Je viens de remonter mon PW de 1987 pour le fun et il n’est pas exclu que je roule l’année prochaine en cruiser, si mon tendon d’Achille recousu me le permet. L’envie revient parfois à l’improviste surtout depuis que j’ai participé à la Oldschool de Saulon où j’ai revu tout ce beau monde qui m’a tant manqué je l’avoue. Mon fiston veut aussi tenter la race l’année prochaine. Alors InchAllah!

Dans les bois

2012 au micro d'Ed Cordier a Saulon

 

2012 Le Blix de nouveau réuni

Vico Junior avec le vélo et la tenue de Papa, énorme...

 OSBMXF : Merci Christophe d’avoir répondu à mes questions. Je te remercie aussi de tous les souvenirs que tu nous fais partager dans le groupe oldschool de Facebook ou sur ce site. C’est juste énorme pour les passionnés que nous sommes. Des remerciements de ton côté ?

CV : Merci à toi Franck de perpétuer la mémoire des dinosaures que nous sommes et un grand merci à tous ceux dont j’ai croisé la route dans le BMX , si nombreux, si passionnés et qui m’ont tant apporté. Désolé pour les noms que j’ai oublié, vous savez je suis vieux maintenant. Ha ha !

Je suis conscient d’avoir eu énormément de chance… Longue vie au BMX !

Christophe Vico « Little Vic »

 

 

Comments

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Une réflexion sur « Interview Christophe « Little Vic » Vico »

  1. aye aye aye c’est le frangin,
    je ferrais remarquer a tous que mon fréro et un de mes idoles mais aussi qu’il me piqué souvent mon bike pour tester ses délires
    vous le constaterez sur les photos 2 et 3 je suis le numéro 274 photo 3 …..
    mais qu’il était aussi très généreux quant a la course d’apt il a échangé son bmx de bonne marque (j’ai perdu le nom ) et a pris pour le vie mon mx 10 ,remarque c’était toujours mieu que le cpx 100 de 17 klg a rétros pédalage
    alors je dit respect
    bise ont t’aime frangin

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